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Sauver votre peau… mais penser à l’environnement !

L’heure est à la préparation des valises pour des vacances réussies. Un incontournable pour ceux qui souhaitent profiter du soleil : la crème solaire. Arriver à la plage, s’enduire et plonger dans la mer… Des petits gestes pas si anodins que ça : vingt minutes suffisent pour qu’un quart de nos protections se diluent dans l’eau.

Chaque jour, des litres de cosmétique vont dans la mer

Imaginez le nombre de touristes qui vont sur la plage, dans la mer ou les courts d’eau, alors qu’à chaque baignade, une partie de leur écran solaire se dissout… le tableau environnemental n’est pas fameux. 
S’il suffit de 20 minutes pour que 25% de votre protection se retrouve dans l’eau, imaginez ce que cela produit, chaque année, au niveau mondial avec 500 millions de personnes qui fréquentent océans et bords de mers.

Selon une étude menée par l’ARVAM (Agence pour la Recherche et la Valorisation Marines), chaque seconde, 0,8 litre de crème solaire se dilue dans les eaux des océans. Chaque année, ce sont donc 25 000 tonnes de cosmétique qui y sont diffusées par les vacanciers dont 4 000 à 6 000 tonnes se déposent sur les massifs coralliens. Les coraux en laboratoire meurent en 48 heures d’exposition à ces produits. La situation ne risque pas de s’améliorer de sitôt puisque les ventes de produits solaires augmentent en moyenne de 7% par an.

Quel impact ?

En cause, les filtres UV chimiques qui dérèglent les écosystèmes, comme par exemple le dioxyde de titanium (TiO2), qui reflète et disperse les rayons du soleil. Choisir sa protection relève donc du casse-tête
Toujours selon l’ARVAM, ces composants sont néfastes pour la faune et la flore marine.

« Ils s’attaquent à une microalgue, la zooxanthelle, qui vit à l’intérieur des coraux et assure leur développement en leur fournissant différents nutriment. Le manque de ces apports provoque le blanchiment du squelette corallien. Même partielle, cette destruction pourrait toucher l’ensemble des écosystèmes marins alors que les récifs coralliens abritent 25 % des espèces sous-marines (poissons, coquillages, crustacés, algues…) auxquelles ils servent de nid à la ponte et de couveuse. Cette biodiversité permet de réguler naturellement les taux de CO2 et d’oxygène sous l’eau. »

Paradis en danger, ils réagissent !

 
Afin d’éviter que le tourisme ne tue les coraux, un nombre grandissant d’îles ou de plages dans le monde entier interdisent l’utilisation des crèmes chimiques pour préserver les récifs et leurs écosystèmes. 

 

 

Les Parcs naturels de Xcaret, Xichén ou encore Xel-Ha (Mexique)

Pour se baigner dans les eaux de certains parcs naturels du sud-est du Mexique, vous devez désormais prouver que vous utilisez uniquement de la crème solaire biodégradable. Le Mexique a décidé ainsi de ne pas suivre la voie de la Thaïlande, l'Indonésie ou les Philippines, dont de nombreux récifs coralliens sont morts. 
 

La ville de Biarritz (France)

Depuis 3 ans, l’entreprise « Les Laboratoires de Biarritz » participe à la campagne « prévention solaire » menée par la Ville de Biarritz et la Ligue contre le Cancer. À cette occasion, ils installent des distributeurs d’écran solaire bio aux filtres solaires minéraux, en libre-service, chaque été qui permet à toute la famille de disposer d’une haute protection naturelle qui respecte l’homme et son environnement.

Les Palaos (Micronésie)

Les Palaos, îles paradisiaques de Micronésie, interdiront en 2020 l'usage des crèmes solaires sous peine d'une amende de 1.000 dollars. Cette interdiction concerne les produits contenant de l'oxybenzone, de l'octocrylene et des parabènes, contenus dans la plupart des grandes marques. 

Hawaï (États-Unis)

Le 1er mai 2018, les législateurs hawaïens ont adopté un projet de loi visant à interdire la vente d'écrans solaires contenant de l'oxybenzone et de l'octinoxate, autre composé chimique néfaste. Hawaï est le premier État à prendre une telle mesure, qui ne devrait cependant entrer en vigueur qu’ à compter du 1er janvier 2021. 

Protection ou préservation de l’environnement : faudra-t-il bientôt choisir ? 

Heureusement non, il existe de plus en plus de produits solaires efficaces, non chimiques, biodégradables, sans test sur les animaux et non toxiques.
En voici trois exemples* : 

 

La gamme solaire EQ éco responsable – 19.95 €  

 

 

 

 

 

La marque de cosmétique bio Acorelle- 23€

 

 

 

 

 

Les soins solaires des laboratoires de Biarritz – 18.50€ 

 

 
 
 
Mais n’en abusez pas, car pour la santé de tous et pour celle des écosystèmes marins, le mieux est de limiter l’utilisation de ces produits. Rappelez-vous que les meilleures protections restent le port des T-shirts, lunettes et casquettes et surtout d’éviter de s’exposer entre 12h00 et 15h00. 
Ainsi, même si les produits solaires ne sont pas les pires des risques qui pèsent sur les coraux, ce sont des menaces sur lesquels on peut facilement agir : il existe désormais de nombreuses alternatives « coral-friendly » pour les crèmes solaires. Alors, avant de faire vos valises pour la plage cet été, pensez aux coraux (et merci pour Némo) ! 

*Ces trois produits sont donnés à titre indicatif et garantissent tous : 

  • une protection solaire efficace
  • Fabrication française
  • une texture fluide et légère, non collante
  • Pas de test sur animaux
  • Invisible, sans effet blanc
  • 100% naturel 
  • Filtres solaires minéraux
  • Certification bio par Ecocert
  • Sans nanoparticules
  • Formules biodégradables

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